Investissements en Algérie

Parlons des investissements directs en Algérie des FTN

Algérie : le développement de Quick se heurte à des blocages bureaucratiques

Cela fait exactement quatre mois qu’il a été inauguré en grande pompe, le 10 septembre 2007, en présence de nombreuses personnalités et de la presse nationale. D'une superficie de 450 m² et 160 places assises, ce restaurant à trois étages confirmait les ambitions de Quick en Algérie.

Mais ce deuxième restaurant algérois de l'enseigne belge n’a toujours pas servi son premier hamburger. Situé dans le quartier de Sidi Yahia, à Hydra, ses portes restent fermées au public. La cause ? Des problèmes administratifs qui durent depuis plusieurs mois. Les services de la wilaya d’Alger tardent à délivrer l’autorisation d’exploitation. « Nous attendons un accord final des autorités de la ville d'Alger dont la délivrance peut arriver d'un jour à l'autre. De notre côté, nous souhaitons ouvrir le plus vite possible », explique une porte-parole de Quick à « toutsurlalgerie.com ».

En réalité, une source proche de Quick à Alger évoque des « blocages administratifs» alors que tout est prêt pour la mise en service du restaurant. Toutes les commissions de la wilaya d’Alger ont rendu leurs rapports et aucune réserve n’aurait été émise.

Ce n’est pas la première fois qu’une enseigne étrangère est confrontée à la bureaucratie de la wilaya d’Alger. L’été dernier, le français Speedy a été contraint de reporter l’ouverture de son premier centre de plusieurs semaines, faute d’une ultime « autorisation » que les services de la wilaya d’Alger tardaient à délivrer. Prévues initialement pour début septembre, les activités du premier Speedy Algérie n’ont démarré que le 10 novembre.

Par crainte de blocages ou d’intimidations, les grandes marques qui souhaitent s’implanter à Alger se montrent peu bavardes sur ces difficultés administratives qu’elles rencontrent bien souvent. Des difficultés en contradiction avec les promesses officielles du gouvernement sur les facilités accordées aux investisseurs étrangers.

Algérie : Total et Qatar Petroleum vont développer des champs gaziers à Timomum

Révélée la semaine dernière par le ministre de l'Industrie et de l'Energie du Qatar, l’alliance entre le géant pétrolier français Total et Qatar Petroleum International (QPI) concernerait, selon nos informations, le développement de plusieurs champs gaziers dans la région de Timimoum, dans le sud-ouest algérien.

Selon nos sources, Total a achevé l’année dernière la phase d’exploration dans cette zone, après le « forage de cinq à six puits ». Le groupe français a fait des découvertes jugées « prometteuses » par le groupe français et par les spécialistes du secteur. La production pourrait commencer dans les prochains mois, en association avec Sonatrach mais aussi avec Qatar Petroleum International dans le cadre du nouveau partenariat annoncé entre ce dernier et Total.

Interrogé, lundi 14 janvier, par « toutsurlalgerie.com », le groupe Total n’a pas été en mesure de commenter nos informations.

Le chef du gouvernement leur reproche leur frilosité
Belkhadem critique les investisseurs arabes

Par :Meziane Rabhi


Pour le Chef du gouvernement, qui était présent à l’ouverture du IIIe Forum économique d’Alger, le niveau de leurs investissements est “en-deçà des attentes”.

Sept milliards de dollars, c’est le montant des investissements arabes en Algérie depuis 2002. C’est du moins le chiffre avancé hier par le directeur de la division des investissements directs étrangers auprès de l'Agence Andi, M. Djamel Zeriguine, lors du 3e Forum économique d’Alger, dont les travaux, placés sous le thème “L'Algérie, terre d'opportunités”, se sont ouverts, hier à l’hôtel Sheraton en présence du Chef du gouvernement, M. Abdelaziz Belkhadem, et de plusieurs ministres. 4,4 milliards de dollars ont été investis dans les télécommunications. Pour les années 2008 et 2009, le directeur de la division des investissements directs étrangers auprès de l'Agence nationale de promotion de l'investissement évoque un portefeuille de projets estimé à 19 milliards de dollars. “90% des projets en question ont reçu l’aval des autorités”, souligne M. Djamel Zeriguine. Pour le Chef du gouvernement, le niveau des investissements arabes en Algérie est “en deçà des attentes” par rapport aux opportunités qu’offre notre pays, dans tous les domaines d’activité. Dans une déclaration à la presse, en marge des travaux du 3e Forum économique d'Alger, M. Abdelaziz Belkhadem a appelé les opérateurs à traduire leurs intentions en projets concrets, notamment dans les branches définies par la stratégie industrielle nationale. M. Belkhadem a souligné que l'Algérie “disposait d'infrastructures développées, d'une main-d'œuvre qualifiée et de sources d'énergie disponibles et à des prix compétitifs”. Le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci), M. Brahim Benjaber, a invité les opérateurs arabes à investir dans le tourisme, l'agriculture et la pétrochimie.

Temmar : privatisation de 100 entreprises durant le 1er semestre 2008
Le ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissements juge le climat des investissements en Algérie, “très attractif”. Il affirme que l’opération de privatisation a connu un développement rapide depuis 2005, avec l'ouverture du capital de 350 entreprises. M. Hamid Temmar annonce dans la foulée la privatisation de 100 autres entreprises durant le 1er semestre 2008. Pour leur part, les hommes d’affaires arabes pensent que beaucoup reste à faire par l’Algérie en matière de climat des affaires. Certes, disent-ils, des améliorations ont été enregistrées. Cependant, le climat des investissements demeure contraignant et lourd, par rapport à ce qui se fait ailleurs. Ils citent comme entraves la bureaucratie, les banques, mais surtout le foncier. Concernant ce dernier, c'est-à-dire le foncier, contrairement aux propos de M. Hamid Temmar, le problème demeure entier. “La vente aux enchères des terrains n’est pas une solution”, jugent certains investisseurs, pour qui l’Algérie est le seul pays qui a recours à cette formule. Le directeur général et président du conseil d’administration du Fonds monétaire arabe, M. Jassem El-Menai, lui craint que les dépenses publiques renforcent le poids du secteur public, jugé déjà important. M. Jassem El-Menai estime qu’il aurait été plus judicieux de parachever le processus de privatisation du Crédit populaire d’Algérie. “Cela aurait été un signal fort”, affirme-t-il, expliquant que la privatisation des banques publiques “est une question importante”, tout comme l’ouverture du capital d’Algérie Télécom. Le directeur général et président du conseil d’administration du Fonds monétaire arabe trouve, par ailleurs, le coût des crédits élevé. M. Jassem El-Menai estime que l’Algérie a besoin aujourd’hui d’une notation d’emprunteur souverain (rating).

Engagement du groupe émirati Emaar : dans l’attente du feu vert du gouvernement
Concernant les projets du groupe émirati Emaar, qui a fait couler beaucoup d’encre, une source proche du dossier affirme que le groupe attend la réponse du gouvernement. “Un protocole d’accord a été récemment remis aux autorités algériennes. Les choses fonctionnent normalement”, soutient cette source, les projets proposés par le groupe émirati dépassent les 26 milliards de dollars.
Il s’agit entre autres la réalisation du complexe touristique du côté de Zéralda, comprenant des résidences de vacances, un hôtel de 500 chambres, un golf ainsi que des centres commerciaux, la transformation de la baie d’Alger, un nouveau campus universitaire et l’implantation d’un campus technologique à Sidi-Abdallah. D’autres sources avancent le mois de mars pour le démarrage des activités du groupe en Algérie.
De son côté, le président-directeur général du groupe Sidar, le Dr Ziad Mahmoud, annonce des investissements pour un montant global qui pourrait atteindre 2 milliards de dollars, d’ici 5 à 10 ans. Ziad Mahmoud évoque le démarrage d’un grand projet touristique à Zéralda, dans six mois. Le groupe Sidar envisage de construire un village touristique et un centre commercial à Annaba. De son côté, le groupe koweïtien de holding nord-africain s’intéresse au processus de privatisation. M. Emad Al-Saleh affirme que le groupe a exprimé son intention de rachat d’une entreprise d’électricité qui se trouve à Azazga dans la wilaya de Tizi Ouzou.

Le climat de l’investissement reste contraignant
La saturation de l'investissement dans leurs pays respectifs pousse nombre de ces hommes d'affaires à étudier comment réinvestir ailleurs, la manne générée par les hydrocarbures, évaluée à plus de 400 milliards de dollars, et c'est tout naturellement qu'ils se tournent vers les pays du Maghreb qui présentent cet avantage géostratégique et à la recherche d'investissements durables.
L’Algérie, dont le climat des investissements s’est amélioré, mais qui reste tout de même à parfaire, se doit d’être compétitive en matière d’attractivité de ces capitaux. Malheureusement, l’Algérie ne sait pas encore vendre son marché. Peu de manifestations ont été organisées à l’étranger pour drainer les investisseurs étrangers, peu d’actions agressives des ambassades pour informer et attirer les entreprises à s’engager en Algérie. Le président de la Chambre de commerce, M. Brahim Benjaber, juge les moyens de la chambre limités.
“Nous préférons ne pas participer à certaines manifestations économiques à l’étranger parce que nous n’avons même pas les moyens de payer les billets d’avion”, regrette-t-il, évaluant le coût d’organisation du 3e Forum économique d'Alger à 30 millions de dinars, pris en charge par les sponsors.

Meziane Rabhi

Algérie: le premier hypermarché Carrefour ouvrira au deuxième semestre

Par ali idir le 31/01/2008

Le premier hypermarché Carrefour à Alger ouvrira dans le courant du deuxième semestre 2008 à Mohammadia à l'est de la capitale, a appris toutsurlalgerie.com auprès de sources proches du projet. Ce premier hypermarché aux normes du géant français de la grande distribution sera implanté dans un ensemble immobilier Alger Medina, initié par l'homme d'affaires algérien Rahim Abdelouahab, propriétaire de l'hôtel Hilton d'Alger.

Carrefour s'est associé avec ce promoteur immobilier et industriel pour s'installer en Algérie.

Un deuxième hypermarché Carrefour ouvrira en 2009 dans la localité de Bir El Djir à l'est d'Oran. Les travaux de construction de cet hypermarché ont été lancés en début d'année.

En tout, 18 hypermarchés Carrefour devront être réalisés en Algérie d'ici à 2018, selon les mêmes sources.

La révision à la baisse des objectifs de Carrefour en Algérie s'explique par les difficultés d'accès au foncier, la faiblesse du pouvoir d'achat des Algériens et des problèmes techniques liés à la grande distribution : difficultés d'assurer un approvisionnement en continu des magasins par des produits de qualité, marché informel, importation de produits labellisés Carrefour, etc.

Carrefour et son partenaire algérien, le groupe Arcofina propriété d'Abdelouahab Rahim, ont ouvert en 2006 le premier magasin test de la marque française à Hussein Deh, dans la banlieue est d'Alger. Le magasin a permis aux responsables de Carrefour de préparer l'ouverture d'hypermarchés en Algérie, via la formation du personnel aux techniques de la grande distribution. Mais aussi de mieux connaître le marché local en termes d'approvisionnement en produits divers et de pouvoir d'achat des Algériens.

Mais khoya Diego, y a déja un Carrefour du côté de Hussein Dey non ? pourquoi ils disent que ça sera le 1er Carrefour à Alger ?

General Electric: ouvre une usine de dessalement en Algérie.

(Cercle Finance) - GE Water & Process Technologies annonce l'inauguration de l'usine de dessalement d'eau de mer (SWDP) du Hamma de 250 millions de dollars, présentée comme la plus grande d'Afrique et permettant d'approvisionner deux millions d'algérois.

La division de General Electric précise que cette usine achevée en 24 mois utilise des membranes d'osmose inverse conformes à la technologie Ecomagination de GE pour purifier jusqu'à 200 000 mètres cubes (53 millions de gallons) d'eau de mer par jour.

La société de projets spéciaux, Hamma Water Desalination SpA, est financée à 70% par General Electric et à 30% par la société étatisée Algerian Energy Company. GE assurera aussi l'exploitation et la maintenance de l'usine pendant 25 ans.

' Nous poursuivons sur notre lancée et en 2008, nous projetons d'accroître nos gros projets structurés, comme celui du Hamma, de 80%. ' ajoute Jeff Garwood, le PDG de GE Water & Process Technologies.

Le groupe souligne que sa technologie de dessalement est utilisée actuellement dans plus de 1 500 usines dans le monde, produisant plus de deux milliards de gallons d'eau douce par jour.

El Marikane :cool:

SONATRACH BRADE LE GAZ


22/03/2008


Un projet de production d'urée (engrais azoté) vient d'être signé entre SONATRACH et le groupe du Golf BAHWAN.
70 % de l'emprunt a été contracté auprès d'une banque algérienne, le reste ( 30 %) a été financé par les deux partenaires ( 51% SONATRACH, 49 % BAHWAN ). Le projet a été passé de gré à gré, ce qui est contraire aux procédures en vigueur et les matières premières seront vendues à un prix inférieur au marché.
A noter que le groupe ORASCOM a déjà un projet similaire.
Résultat des courses: Pour 15 % du coût du projet, le groupe BAHWAN va accéder à un prix cassé sur une matière première d'importance stratégique.
Pas d'investissements directs étrangers, qui auraient pu libérer les capitaux algériens sur d'autres secteurs, mais ouverture du marché de la transformation du gaz à des prix cassés.
Notre ministère de l'énergie nous vend l’idée d’une coopération avec le Golf très avantageuse pour l'Algérie alors qu'en réalité, nous sommes entrain de faire exactement le contraire de ce qui est annoncé: investissement direct algérien en faveur des entreprises du Golf!!

Tout-sauf-boulmerka a écrit:

SONATRACH BRADE LE GAZ


22/03/2008


Un projet de production d'urée (engrais azoté) vient d'être signé entre SONATRACH et le groupe du Golf BAHWAN.
70 % de l'emprunt a été contracté auprès d'une banque algérienne, le reste ( 30 %) a été financé par les deux partenaires ( 51% SONATRACH, 49 % BAHWAN ). Le projet a été passé de gré à gré, ce qui est contraire aux procédures en vigueur et les matières premières seront vendues à un prix inférieur au marché.
A noter que le groupe ORASCOM a déjà un projet similaire.
Résultat des courses: Pour 15 % du coût du projet, le groupe BAHWAN va accéder à un prix cassé sur une matière première d'importance stratégique.
Pas d'investissements directs étrangers, qui auraient pu libérer les capitaux algériens sur d'autres secteurs, mais ouverture du marché de la transformation du gaz à des prix cassés.
Notre ministère de l'énergie nous vend l’idée d’une coopération avec le Golf très avantageuse pour l'Algérie alors qu'en réalité, nous sommes entrain de faire exactement le contraire de ce qui est annoncé: investissement direct algérien en faveur des entreprises du Golf!!

Tshya El Djazayer! Bilad el 3ezz wal Karama

Ben_le_cool a écrit:

Tout-sauf-boulmerka a écrit:

SONATRACH BRADE LE GAZ


22/03/2008


Un projet de production d'urée (engrais azoté) vient d'être signé entre SONATRACH et le groupe du Golf BAHWAN.
70 % de l'emprunt a été contracté auprès d'une banque algérienne, le reste ( 30 %) a été financé par les deux partenaires ( 51% SONATRACH, 49 % BAHWAN ). Le projet a été passé de gré à gré, ce qui est contraire aux procédures en vigueur et les matières premières seront vendues à un prix inférieur au marché.
A noter que le groupe ORASCOM a déjà un projet similaire.
Résultat des courses: Pour 15 % du coût du projet, le groupe BAHWAN va accéder à un prix cassé sur une matière première d'importance stratégique.
Pas d'investissements directs étrangers, qui auraient pu libérer les capitaux algériens sur d'autres secteurs, mais ouverture du marché de la transformation du gaz à des prix cassés.
Notre ministère de l'énergie nous vend l’idée d’une coopération avec le Golf très avantageuse pour l'Algérie alors qu'en réalité, nous sommes entrain de faire exactement le contraire de ce qui est annoncé: investissement direct algérien en faveur des entreprises du Golf!!

Tshya El Djazayer! Bilad el 3ezz wal Karama

+1000 tant que c'est pas les colons qui profitent ma3lich ....on est tous la même ouma

El-beznassi a écrit:

Le chef du gouvernement leur reproche leur frilosité
Belkhadem critique les investisseurs arabes


Meziane Rabhi

yakhi tmenyik yakhi,
howa le plus indecis de tous, il nous fait chier avec son troisieme mandat. il hesite a se prononcer et il reproche aux autres leur hesitation.

qalek el jmel nsa l7edba dialo, o shaf 7edbet khoh

Tout-sauf-boulmerka a écrit:

Ben_le_cool a écrit:

Tout-sauf-boulmerka a écrit:

SONATRACH BRADE LE GAZ


22/03/2008


Un projet de production d'urée (engrais azoté) vient d'être signé entre SONATRACH et le groupe du Golf BAHWAN.
70 % de l'emprunt a été contracté auprès d'une banque algérienne, le reste ( 30 %) a été financé par les deux partenaires ( 51% SONATRACH, 49 % BAHWAN ). Le projet a été passé de gré à gré, ce qui est contraire aux procédures en vigueur et les matières premières seront vendues à un prix inférieur au marché.
A noter que le groupe ORASCOM a déjà un projet similaire.
Résultat des courses: Pour 15 % du coût du projet, le groupe BAHWAN va accéder à un prix cassé sur une matière première d'importance stratégique.
Pas d'investissements directs étrangers, qui auraient pu libérer les capitaux algériens sur d'autres secteurs, mais ouverture du marché de la transformation du gaz à des prix cassés.
Notre ministère de l'énergie nous vend l’idée d’une coopération avec le Golf très avantageuse pour l'Algérie alors qu'en réalité, nous sommes entrain de faire exactement le contraire de ce qui est annoncé: investissement direct algérien en faveur des entreprises du Golf!!

Tshya El Djazayer! Bilad el 3ezz wal Karama

+1000 tant que c'est pas les colons qui profitent ma3lich ....on est tous la même ouma

Oui, ca fait moins mal de se faire enc... par nos freres arabes.